jeudi, mars 11, 2010

L'HOMME DES CAVERNES de Patrice Hartmann


Ce serait sidéferer un nuage dans le crane-caverne par trop lumineux.
Ou le marre du : dis!
L'étincelle dévore la résine du sapin au coma de l'immortel.
Vénus en poupe.
Matrix serre les yeux de crainte qu'ils ne finissent en fuite à ce.
Des esses s'impressionnent, fluides, à la géométrie solaire certaine car
rien n'est plus argileux qu'un crépuscule au néo-cortex.
La nuit du père.
Et strangule la seconde ainsi décérébrée où la grosse, grosse, grosse
main gifle le jour. A l'apesanteur du torse nul n'est tenu si ce n'est
cette toute juste nudité idéelle, voire conceptuelle, manque un truc,
probablement un pincement de babines.
Bulbiflores de cités.
Au coude à coude des codex faitauds.
Angoissal et son vassal gaucher vibrent des dermes étoilés aux nerfs
des couards grégaires.
A terre.
Aura aurorale, aurait-dit le faux enfant si les dames étaient de grises
vertus à tuer têtes. A-friquer des barques désamusées le long des
sources à rebours et compter jusqu'à l'auriculaire.
Au top!
La coupe sera pleine.
Et en lune sous venue s'effritera parfois le souvenir cyclique.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

c'est reparti
bim
gor
zar