http://dhaturarecords.bandcamp.com/
BISSECTA
mercredi, mars 05, 2014
Sourire l'acte de ma muse (The end of the world)
Aux noms de tous tes noms Déesse des Dieux!
Les évasions deviennent consommables, consumables, conspirées par le cortège
des oracles guerrières moites de cette succion d'éther.
Celles-là qui font misère des cordes à peines comptées, parfois entrevues durant le
vivre et le mourir en la seule seconde terrifiante, orgasmique, mourir et vivre en la
seconde qu'Elle éclate, Mère de la misère corde. En la seconde mourir et vivre,
vivre et mourir en la seconde.
Louanges à Déesses!
Horribles câlins naissant dans le vent des ans où va et vient le débit désabusé, bel
amour sans condition qui soupire les ondes des forgerons attestant le rythme
radial, grand blanc semé à la trace odorante de ses voix.
Saigneuses des univers.
Celles-là même qui trament misère des cordes.
Vénérer pleinement chaque porteur par pulsions premières sous le planning
sévère de quelques planètes envieuses d'être épelées du feu à quatre pattes
insoumises; seul ce feu faisait mine de savoir l'eau interstitielle.
Mères des misères cordes.
Mourir et vivre en sa seconde.
En sa seconde, mourir et vivre.
Reines des secondes sans jugement.
Telle la silhouette en treillis assouvissant de déserts les humains accrochés à leurs
crampes encrées aux milliards de maux, par inadvertance, offerts afin qu'ils
bâtissent, oui ces salopes avec ou sans pénis, les humains qui bâtissent ces piliers
dorées soutenant cette vacuité sure d'eux.
C'est vous que j'adore!
Vous!
Dont je méprise le but.
Plaies pyrrhiques abruptes aussi abrutissantes que l'obscurantisme des réverbères
coincés sur la castration féodale incrustée aux fausses pierres et leurs nouvelles
prières des putains de pères.
Perds-moi vers la plaine gauche:
alors les capacités persisteront à siffler le violet flûté encore, flûté, flûté,
profondément flûté sur la pression psychique hurlée, flûtée, juste unisson et
passion sans pardon, flûtée et harpée avec la cruelle croyance criarde des crocs
qu'ameute la marche têtue de l'araignée.
Vers la plaine gauche de celles que vous avez vidées de méfaits.
En votre seconde mourir et vivre, vivre et mourir en votre seconde.
Je vous prie d'y passer en premier;
je vous aime car vous secondes croustillaient les lobes qu'elles prennent signataires
des astres lagunaires, elles y demeurent volatiles au claquement de doigts, leur
demeure première et seconde s'évapore lasse des lèvres pluvieuses, vers la plaine
gauche.
Oui c'est la plaine de celles qui bafouent votre bienveillance et de celles des
troublantes trouvailles censées commettre la langue du parsec convulsif qui goutte
ainsi la seconde où il se doit de mourir et de vivre.
Vivre et mourir en la seconde.
De ta main, de ta seconde, mourir et vivre.
Vivre et mourir de ta main, de ta seconde.
Lien vers la chanson:
The end of the world's song
Les évasions deviennent consommables, consumables, conspirées par le cortège
des oracles guerrières moites de cette succion d'éther.
Celles-là qui font misère des cordes à peines comptées, parfois entrevues durant le
vivre et le mourir en la seule seconde terrifiante, orgasmique, mourir et vivre en la
seconde qu'Elle éclate, Mère de la misère corde. En la seconde mourir et vivre,
vivre et mourir en la seconde.
Louanges à Déesses!
Horribles câlins naissant dans le vent des ans où va et vient le débit désabusé, bel
amour sans condition qui soupire les ondes des forgerons attestant le rythme
radial, grand blanc semé à la trace odorante de ses voix.
Saigneuses des univers.
Celles-là même qui trament misère des cordes.
Vénérer pleinement chaque porteur par pulsions premières sous le planning
sévère de quelques planètes envieuses d'être épelées du feu à quatre pattes
insoumises; seul ce feu faisait mine de savoir l'eau interstitielle.
Mères des misères cordes.
Mourir et vivre en sa seconde.
En sa seconde, mourir et vivre.
Reines des secondes sans jugement.
Telle la silhouette en treillis assouvissant de déserts les humains accrochés à leurs
crampes encrées aux milliards de maux, par inadvertance, offerts afin qu'ils
bâtissent, oui ces salopes avec ou sans pénis, les humains qui bâtissent ces piliers
dorées soutenant cette vacuité sure d'eux.
C'est vous que j'adore!
Vous!
Dont je méprise le but.
Plaies pyrrhiques abruptes aussi abrutissantes que l'obscurantisme des réverbères
coincés sur la castration féodale incrustée aux fausses pierres et leurs nouvelles
prières des putains de pères.
Perds-moi vers la plaine gauche:
alors les capacités persisteront à siffler le violet flûté encore, flûté, flûté,
profondément flûté sur la pression psychique hurlée, flûtée, juste unisson et
passion sans pardon, flûtée et harpée avec la cruelle croyance criarde des crocs
qu'ameute la marche têtue de l'araignée.
Vers la plaine gauche de celles que vous avez vidées de méfaits.
En votre seconde mourir et vivre, vivre et mourir en votre seconde.
Je vous prie d'y passer en premier;
je vous aime car vous secondes croustillaient les lobes qu'elles prennent signataires
des astres lagunaires, elles y demeurent volatiles au claquement de doigts, leur
demeure première et seconde s'évapore lasse des lèvres pluvieuses, vers la plaine
gauche.
Oui c'est la plaine de celles qui bafouent votre bienveillance et de celles des
troublantes trouvailles censées commettre la langue du parsec convulsif qui goutte
ainsi la seconde où il se doit de mourir et de vivre.
Vivre et mourir en la seconde.
De ta main, de ta seconde, mourir et vivre.
Vivre et mourir de ta main, de ta seconde.
Lien vers la chanson:
The end of the world's song
lundi, août 12, 2013
mardi, avril 30, 2013
TU A-SEXES
Tu commes la vulve et la verge- Tu chevelures les hermaphrodites de tout bord- Tu amnésies ce désir des cibles aux flèches- Tu ventres les bulles bâtisseuses sensuelles- Tu poussières- Tu ruisselettes- Tu flammèches- Tu cuisses entre les montagnes, entre les buildings, entre les tornades- Tu choses la fulgurance des choses- Tu millieus lascive flanquée d'un X et d'un Y- Tu ças tandis l'être surgissant- Tu volumes- Tu fantômes- Tu multicolores- Tu nectares ces cerisiers pour les abeilles déracinées- Tu collines taquine appelant la dictée des doigts- Tu animuses bien sur avec l'anima sola- Tu testostérones l'armure des menstrues- Tu pareilles- Tu étamines- Tu pistiles- Tu cyprines à peine hissée sur des dards dépliés- Tu nous les brises vaginales- Tu oiselles les spectres cavernicoles- Tu chasse-galeries l'inconnu métamorphe bien trop certain. Tu écranes- Tu autres- Tu véritables- Tu lamelles les matrices afin qu'elles mutent vers l'extraversion virile- Tu glosses les moustaches de l'humus- Tu rimelles parmi les pommes d'Adam- Tu lotionnes la caution des mannequins- Tu minois- Tu dandyses- Tu lèvres- Tu idemes l'idiome idoine de nos douanes intimes- Tu quidames ces lords d'un mouchoir métaphysique- Tu sexes la solitude, porte du néant absolu- Tu vous alors les faces qui s’effacent sans message-
samedi, décembre 22, 2012
jeudi, novembre 29, 2012
mercredi, novembre 07, 2012
mercredi, octobre 24, 2012
lundi, octobre 01, 2012
dimanche, septembre 23, 2012
dimanche, juillet 01, 2012
samedi, juin 09, 2012
mercredi, mai 23, 2012
Ni (trop)
Allons,
allons, allons, peuples, encore quelques faiblesses avant la
décadence.
A
quoi bon louer son nom: la civilisation ? A quoi bon bénir des
martyrs aux 2.0 soupirs ? A quoi bon bonder vos mondes au con
sidaïque des ultras catins télématiques ? Venez donc mélanger le
sens et le sang de vos bites qui s'habitent frénétiques en tics de
métriques pathétiques à la vie de la viande violente vérolée par
vos vœux que visse l'acide nitrique, là fumante cent fois, d'un
poids spécifique de 50 degrés baume, c'est presque pur pour des
pourceaux putrides partis en pèlerinage privatifs perlant la
transpiration du stupre taxé au social précoce, prépuce des
ratures, rognures, raclures des grandes surfaces castratrices. Voilà,
conards concentriques en répliques que se nique l'acide sulfurique
de deux sans mesure sous cette nasse de chaudasses en masses. Citons
konss: Une carte pour conduire, une carte pour voter, mais pas de
permis pour violer ses valeurs à la tournante populaire des zombies
du super marketing qui paradent perdus dans ton cul de geek tout
juste révélé. Masturbez-vous bien le long des spatio-temporalités
programmées et faites surtout très attention lorsque vous vous
utilisez, car cadavres congelés, intervient à présent la glycérine
pas en trente glorieuse, hein, trente huit à peine hissé aussi
lentement que possible. Puis laissez couler le long du récipient à
prouts paroliers, vos loyers mentaux ne sont pas si acides que ça
après tout, en n'oubliant pas de remuer votre libido et destrugo,
bien évidemment, avec une tige en verre pendant 15 secondes à la
patience faisandée de stratégie autiste versant le vin d'une foi au
cœur de son propre volume d'eau laïque que vous mixerez à de la
soude cuite comme vos ambitions affables coincées sous le micro-onde
électoral carcéral et séparez le tout en pensant pieusement à vos
comprimés si sécables. Ah, la saturation du bipède, bicarbonate de
la genèse, bullant sa bave sur l'usine organique débridée, que la
dépression est luxueuse sur les dance-floor de l'immédiatisme
mémoriel!
vendredi, janvier 27, 2012
mercredi, janvier 04, 2012
Crétins
Ah putain de chrétiens de merde qui niquent leur mère soit disant vierge au nom du père complétement sadique et du fils totalement masochiste dans le trou du cul des reculades obscures où moisissent leurs gentilles intentions.
Enculés de fils de putes fidèles, dénaturant, avilissant, castrant, dérobant, nivelant à la base les forces premières élémentaires, les délicieux démons d'abondance, les saints axes fécondateurs, les symboles pertinents et originels, vous avez en une préméditation chirurgicale placé votre enfer sur terre.
Conards convaincus, pathologiquement conquérants, confirmés par le con cloitré des bonnes sœurs pas aussi salopes que ça, c'est vous qui baisez les petits enfants au divin appel de l'amour que vous adorez voir saigner sur un pauvre morceau de bois.
Bouffons à religion, clairement fratricides, laissez donc la porte ouverte à la cauchemarde actuelle dont la chevauchée à travers les esprits fertilisera la mesure exacte des rêves.
Enculés de fils de putes fidèles, dénaturant, avilissant, castrant, dérobant, nivelant à la base les forces premières élémentaires, les délicieux démons d'abondance, les saints axes fécondateurs, les symboles pertinents et originels, vous avez en une préméditation chirurgicale placé votre enfer sur terre.
Conards convaincus, pathologiquement conquérants, confirmés par le con cloitré des bonnes sœurs pas aussi salopes que ça, c'est vous qui baisez les petits enfants au divin appel de l'amour que vous adorez voir saigner sur un pauvre morceau de bois.
Bouffons à religion, clairement fratricides, laissez donc la porte ouverte à la cauchemarde actuelle dont la chevauchée à travers les esprits fertilisera la mesure exacte des rêves.
samedi, novembre 26, 2011
vendredi, novembre 11, 2011
Spirales instantanées
Latitude posée Application A la cornée convexe Sphères à sphères Fiction de ligne Point englobant Gobe ciel Ronde Rotule invisible Errance immergée Souder des stupeurs Dilution gouttes à gouttes Verse cercle Longe Fuite circulaire.
jeudi, novembre 10, 2011
De base
Syntonie, je t'encule
comme j'encule ma mère, la nature.
Cette phrase semble vous intéresser fortement.
L'essentiel ne réside pas dans la repentance de la lumière fouettante du spectacle.
Charogne.
Industrie de la charogne,
chère à mémoire d'hommes.
Charognes donc,
sodomisées et casées aux quatre coins du monde,
mannequins du grand crash test cosmique des temps modernes, évidement apocalyptiques.
Et oui, ils l'ont dit.
C'est à faire.
J'encule ma mère, vos mères au passage,
alors que je n'ai pas encore bien digéré mon père.
vendredi, octobre 28, 2011
Maniant
Il était laminé aux plis de la manie.
Il était laminé aux plis de la manie, en danse, en spirale, dans sa cabane bleue.
Laminé aux plis de sa manie du haut de sa colline, il tournoyait en contemplant le vol des oiseaux migrateurs.
La danse sans tête révèle l'histoire déjà vue.
Déjà vue, cette danse folle sur la piste des ancêtres.
Il toise les traces de pas, sur la piste, sur le cercle
L'ombre des empreintes est si familière.
Acéré, aiguisé par ses coutumes il suit le cercle, la piste, puis récite les formules de sa manie, de sa magie.
mardi, octobre 18, 2011
Loup y es-tu ?
Un frisson guide les sanglots vers la citadelle des instincts.
Les loups sont dans la place.
Écoute.
Cette symphonie d'étoiles muettes à la ville.
Le chant du palmier au sein de l'interstice du pavé.
Avec ces pies qui discutent des nuances du gris.
Chaque tendon d'acier espère la morsure à détente solaire, à salive azurée, à la jugulaire des songes.
Ainsi, les déclinaisons du sourire ouvre le bal des crocs.
Le miroir ensanglanté invoque le monstre caché au fin fond de l'église du je.
Et on peut l'apercevoir dans son infinie patience se réchauffer aux feux de la télévision.
mercredi, septembre 07, 2011
Moment
Les yeux palpitent à même les nuages, la conscience laiteuse.
Une oscillation spatio-temporelle, probablement.
Avec ce vent qui épie, racle, tacle l'idée de surface tout en dénonçant l'azur terrestre ce qui pourrait remettre en question l'empire du photon à coup de sons et de palpations.
Seules les racines des parfums ancrées au cortex témoignent d'un vécu individuel.
Un souvenir de voie lactée clignote.
Des terminaisons universelles raillent des berceaux civilisés en reliant, n'importe comment, les étoiles entre elles en une mise à mort des plus méthodiques, dévoilant l'étranglement de toutes perceptions lumineuses émises.
Et durant le grondement des cumulus à flashs une larme invoque l'orage.
lundi, août 22, 2011
Bruissure
Eclatés les nuages sous nos pas sédentaires
Des sangles de larmes, coulées depuis ta mort
Une rassurante érection perlée du ciel cerclé
Les chants ridulent le rouge horizon
Sève jouir comme suppurer une promesse
Sel soul sûr
Caressant les créatures sonores hologrammées
Une grêle tombe grosse
Chasse fugace et instant grinçant
Oui, le jour, le souffle court
Flûte frissonne au crépuscule du merle merle
L'offrande insinue le mystère des airs
Un doigt suivant, presse l'extase, dix et mille commissures de lèvres
L'art bruisse en jeu sur vos bouches
inspir : http://freaks-factory.aceboard.fr/11509-2392-35500-0-Bruit.htm
Des sangles de larmes, coulées depuis ta mort
Une rassurante érection perlée du ciel cerclé
Les chants ridulent le rouge horizon
Sève jouir comme suppurer une promesse
Sel soul sûr
Caressant les créatures sonores hologrammées
Une grêle tombe grosse
Chasse fugace et instant grinçant
Oui, le jour, le souffle court
Flûte frissonne au crépuscule du merle merle
L'offrande insinue le mystère des airs
Un doigt suivant, presse l'extase, dix et mille commissures de lèvres
L'art bruisse en jeu sur vos bouches
inspir : http://freaks-factory.aceboard.fr/11509-2392-35500-0-Bruit.htm
lundi, août 08, 2011
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